DE L’IMPORTANCE DE LA RECONNAISSANCE DANS LA FAMILLE ET LA SOCIETE

Je m’y intéresse aujourd’hui d’un point de vue des mémoires cellulaires.

Dans mes consultations, il m’arrive, en effet, de rencontrer, d’un point de vue cellulaire , la mémoire « d’un mort oublié « qui vient s’exprimer au travers d’une personne de sa lignée.

C’est le cas de Ava,  une femme de 59 ans qui vient me consulter car elle porte le sentiment d’être abandonnée de tous.
Le corps d’Ava lui révèle de séance en séance des secrets de famille et des parasitages …. Jusqu’à ces mots du corps, « dans mon quotidien, je subis un parasitage par un mort oublié dans mon arbre généalogique officiel.

Ce mort oublié est au niveau généalogique de ma Grand-mère paternelle.

C’est une nouvelle qui peut être difficile à croire.

Il est donc essentiel d’étayer les mots du corps par une recherche concrète.
Ava se lance sur les traces de ce « mort » oublié. Elle travaille, cherche, creuse et ….trouve !Le mort oublié est une morte.Avec ces preuves officielles réunies, Ava. peut interroger une contemporaine de sa grand-mère.
Cette dernière lui raconte l’histoire.
Au sortir de la première guerre mondiale, les parents de sa grand-mère paternelle ont accueilli un jeune soldat. Ce dernier a violé la grand-mère d’ Ava alors âgée de 16 ans.
A la naissance, la grand-mère a abandonné l’enfant dans un orphelinat.
La petite fille y est morte de tuberculose aux environs de ces 10 ans.A la lumière de ce secret de famille révélé, je constate l’empathie d’AVA pour cette petite fille.
Ce sentiment lui fait lâcher prise sur ces combats et la tristesse vient remplacer la colère.
Comme toujours, le corps nous confirme cette émotion et donne à Ava des clefs nouvelles
pour avancer sur mon chemin de conscience:
« Le manque de confiance et d’estime de moi me fait craindre le jugement. Cela me vient de l’apprentissage du donner et recevoir qui entraine une injonction « n’existe pas ».Et, pour cause !

Cellulairement, en effet, Ava vivait une cohabitation avec cette ascendante qui cherchait à être reconnue, qui n’existait pas dans l’arbre généalogique officiel !

Cette histoire nous montre que même si nous sommes l’incarnation, nous pouvons être influencés cellulairement par un ancêtre qui cherche à être reconnu, identifié dans une terre de mémoire.

La loi du 26 Novembre 2021 va donc permettre cette reconnaissance officielle et permettre à l’âme de mettre fin à son expérience dans la matière en y ayant reçu sa juste place.

#memoirecellulaire #transgenerationnel