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Tous ces derniers jours, j’ai vibré avec les astronautes de l’ISS qui s’apprêtaient à redescendre sur Terre, dans la matière… donc.

Toute mon âme vibrait car ce qu’accomplisse ces astronautes, notre âme connait, en effet, ce chemin; Le chemin de l’évolution, de la matière, de la Terre au ciel et de l’involution du ciel à la terre, à la matière.

Et mon âme souffrait avec ces astronautes qui allaient connaître les souffrances physiques engendrées par le passage de l’impesanteur à la gravité.

Lorsque les astronautes vont de la Terre au Ciel, ils ne ressentent pas la gravité terrestre telle que nous la ressentons sur le plancher des vaches : les déplacements se font sans presque aucun effort.
Cette absence d’efforts peut d’ailleurs astrophier leurs muscles.
Leur colonne vertébrale peut connaitre également une élongation allant jusqu’à 7 cm.
L’impesanteur peut également avoir des effets étonnants sur le système cardiaque et la circulation.
Ce qui peut en conséquence entraîner des problèmes aux yeux. L’absence de gravité fait que, tout comme les muscles et les os, le cœur ne travaille pas autant que lorsqu’il est sur Terre. La première conséquence notable sur l’organe est qu’il perd une partie de sa masse au cours du voyage en impesanteur. Son aspect change également : le cœur prend une forme un peu plus sphérique (son aspect conique habituel est rétréci).
Dans l’espace, le manque de gravité fait que la circulation du sang se réorganise différemment.  critiques.

« Moi qui ai une excellente vue sur Terre, je sens qu’elle est déjà en train de diminuer dans l’ISS. L’absence de gravité augmente le flux sanguin à l’intérieur du crâne. Cela crée une pression qui affecte les yeux. C’est l’un des prix à payer ». Thomas Pesquet, journal de bord ISS

Lorsqu’ils s’apprêtent à redescendre dans la matière, les astronautes sont confrontés à la gravité de la matière.
« Ils seront épuisés, malades, ne pourront pas marcher. Ils auront des nausées, le moindre mouvement de la tête est terrible pour eux parce qu’ils redécouvrent le poids de ce crâne qu’ils avaient oublié pendant six mois. »  Serge Brunier, consultant scientifique
Dans les premiers jours du voyage spatial, ou du retour sur Terre, les astronautes peuvent, en effet, éprouver des troubles moteurs : contrôles des gestes, des mains, sens de l’orientation…

Qu’a ressenti notre âme lorsqu’elle est venue s’incarner dans notre corps physique ? 

Comme le décrit très bien Sylvie Ouellet dans « Bienvenue sur Terre », l’adaptation est progressive. Le contact de l’âme avec son corps physique se fait au moment de la conception terrestre , c’est à dire au moment de l’acte sexuel de nos parents.
L’âme entame alors un processus d’adaptation progressif jusqu’à venir s’incarner dans la chair, dans son corps qui devient alors son véhicule terrestre.

Grâce à la mémoire cellulaire, nous pouvons remonter les affres de l’âme dans son atterissage dans sa vie terrestre.
Ces mémoires utérines peuvent créer des cristallisations énérgétiques et générer des schémas répétitifs que nous avons du mal à nous expliquer tant que ces mémoires ne sont pas remontées à notre conscience.

Alors bienvenue sur Terre aux astronautes de l’ISS et merci de m’avoir fait revivre ce voyage.